jeudi 18 février 2016

Marguerite Duras

A l'occasion de l'Atelier d'écriture de demain à la Scuola Holden, plongez-vous (ou replongez-vous) dans les mots de Marguerite Duras chantés par Jeanne Moreau.






Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me .................... d'elle
Et toi qui me dis tout
Ô, toi,
Que nous dansions ensemble
Toi qui me parlais d'elle
D'elle qui te ............................
Toi qui me parlais d'elle
De son ........................ oublié
De son corps, de mon corps
De cet amour là
De cet amour mort
Chanson,
De ma terre ...........................
Toi qui parleras d'elle
........................... disparue
Toi qui me parles d'elle
De son corps ............................
De ses nuits, de nos nuits
De ce désir là 
De ce désir ............................
 Jeanne Moreau et Marguerite Duras ont même chanté ensemble dans "La Rumba des îles"
Réponses : parles / chantait / nom / disparue / effacé / mort

jeudi 11 février 2016

Cherchez la femme

A l'occasion de la rétrospective "A proposito di tutte queste signore" en collaboration avec le Casa del Quartiere et le Musée du cinéma, sera projetté à l'Alliance française de Turin, Vendredi 26 février, à 18h00, le documentaire “Bambi” de Sébastien Lifshitz.



Dès sa plus tendre enfance à Alger, Marie-Pierre ne veut s’habiller qu’en robe et refuse obstinément son prénom de naissance : Jean-Pierre. A 17 ans, sa vie bascule lorsqu’elle découvre la revue d’un cabaret de travestis en tournée : le Carrousel de Paris.  En quelques années, elle devient « Bambi », figure mythique des cabarets parisiens des années 50-60. 
En recueillant le témoignage d’une des premières transsexuelles françaises, Sébastien Lifshitz poursuit le travail entamé avec Les Invisibles et trace le destin d’une personnalité hors du commun.






mercredi 3 février 2016

Art et émotions à Palazzo Madama

Lors de la rencontre du dimanche 24 janvier à Palazzo Madama, dans le cadre du cycle "Ceci n'est pas un cours", nous avons échangé autour du vaste thème de l'art et des émotions. Après avoir discuté et fait part de leurs expériences, les participants se sont promenés dans le musée et arrêtés devant des œuvres qui, pour une raison ou pour une autre, les ont touchés. Ils ont ensuite partagé leurs impressions et émotions avec le groupe... en voici quelques extraits.




"Je suis restée étonnée par un plafond de Palazzo Madama. En hiver on peut découvrir, seulement en regardant vers le haut, la beauté et le désir de printemps... sentir l'air frais et le soleil pâle d'un après-midi calme... Imaginez-vous dans un jardin secret, loin du bruit de la ville où le temps se repose avec nous. Différents types de fleurs, des oiseaux, des plantes : une fenêtre sur l'âme"

(Alessandra)

« Dimanche 24 janvier, atelier très sympa dans le cadre magnifique de Palazzo Madama.
Je choisis ce tableau car j'aime sa lumière. J'aime aussi la simplicité et la candeur des personnages
Un beau tableau et une belle journée. »

(Maurizio)
« Au cours de nos visites dans les musées,  faute de temps, la quantité de détails et d’œuvres qui risquent d'échapper à notre attention est bien évidemment considérable. Dans les salles du Palazzo Madama à Turin, par exemple, les regards sont attirés par le célèbre Antonello da Messina ou par d’autres œuvres connues, de sorte qu'un tableau comme le portrait de Tommaso Valperga di Caluso, peint par François Xavier Fabre, est forcement négligé.


Le peintre français, ami de Vittorio Alfieri et de la comtesse d’Albany, représente ici le maître des intellectuels piémontais de la fin du dix-huitième siècle, un savant qui en son temps était connu comme «la Bibliothèque vivante» ou «le nouveau Montaigne», ou encore «le deuxième Pythagore». On reste intrigués par la passion intellectuelle de ces érudits d'autrefois, comme le naturaliste Lacépède qui, à ce qu'on dit, pendant la Terreur n'avait comme seul souci que son traité : l'«Histoire naturelle des poissons». (Paolo)

Le regard de "l'anonyme"
" Dans le grandiose Palazzo Madama, il y a quelque part, je ne vous dirais pas où, une petite salle un peu cachée, pas visible au premier regard et pas trop illuminée. Et bien, si on la trouve, on y entrerais à pas léger, car il y règne une atmosphère particulière.
Dans cette ambiance un peu sombre, on peut percevoir que quelqu'un nous regarde, on sent ses yeux sur nous. Mais ce n'est pas possible, il n'y a personne !
Un autre pas en avant et nous sommes attirés par une lumière claire qui brille au fond de la toute petite salle. Derrière une glace, un objet du passé est là pour être regarder.. Un vieux et grand livre, riche d'images d'or et d'écritures incompréhensibles nous attire. On se baisse pour essayer de comprendre de quoi il s'agit et... Il est là. On se retourne un peu et on le voit finalement. Dans un petit cadre en bois sombre, sur un fond complètement noir, le voilà. On s'approche de la glace avec curiosité. Un homme nous regarde. C'est qui ? On ne sais pas. Pas de nom, pas d'indices.. Il y a seulement lui, avec son manteau rouge et son chapeau noir, qui finit quelque part dans le fond lui aussi noir. Mais surtout, il y a son visage et son regard.
Cet homme sans âge et sans nom, fixe ses yeux dans les nôtres avec la profondité de la mer et la chaleur du feu. "Et alors ?! Que-est ce que tu as à regarder, toi ?!" Il semble nous chuchoter à mi-voix. Et on reste là..un peu troublés, un peu gênés. Et il continue son monologue. "Et alors ?! Tu as perdu la parole ?!" Et on reste immobile.. En cherchant quelque chose à répondre à ce défi ! Car oui, c'est un défi ! Il nous regarde avec son air important, sa fierté... Ses yeux sont deux points noirs qui nous laisse tomber dans nos pensées pour y trouver des réponses. On ne prononce pas un mot et alors il nous sourit, toujours superbe. Quand on quitte la salle, on sent encore ses yeux dans notre dos et on revient à la réalité.. Avec quelque chose.. D'anonyme."
(Valentina)

" DEUX ENFANTS" 
"Le bébé reçoit un cadeau précieux. Il est étonné, curieux, impatient de découvrir l’objet qu’on va lui donner. « Que-ce-que c’est ? » Il ouvre la coupe avec un geste naturel pour voir ce qu’il y a dedans. Son corps nu et dodu est en mouvement, petits coups de pied assis sur les genoux de sa mère, sa main droite avec deux doigts ouverts. Autour de lui sa famille et les gens qui l’adorent et le fêtent, mais son attention est seulement pour le mystérieux cadeau et la lumière aussi met en relief son émerveillement.


Un enfant seul sur le tableau. C'est un petit prince, habillé avec les vêtements somptueux de son rang, une épée au côté gauche. Le visage blanc, ovale, avec les joues d’un rose artificiel. Les yeux noirs ne nous regardent pas. Son regard timide est un peu incliné et se perd dans le vide. Ses lèvres rouges et minces tentent un timide sourire. Sa main gauche avec les doigts fuselés dans une pose d’autorité. La main droite disparait dans le noir du fond. On entend sa pensée : « quand le peintre aura-t-il terminé mon portrait ? » 
(Maria)

mardi 2 février 2016

Est-ce que tu m'aimes ?

Maître Gims, vous l'entendez partout, 
autant en connaitre les paroles....



J'ai retrouvé le ……………….quand j'ai vu le bout du tunnel
Où nous mènera ce jeu du mâle et de la femelle ?
Du mâle et de la femelle
On était tellement complices, on a brisé nos complexes
Pour te faire ………………….., t'avais juste à lever le cil
T'avais juste à lever le cil

J'étais prêt à graver ton …………… à l'encre noire sous mes paupières
Afin de te voir, même dans un sommeil éternel
Même dans un sommeil éternel (bis)

J'étais censé t'aimer, mais j'ai vu l'averse
J'ai cligné des ……………….., tu n'étais plus la même
Est-ce que je t'aime? J'sais pas si je t'aime (bis)

Pour t’éviter de ……………………, je n'avais qu'à te dire : "Je t'aime"
Ça m'a fait mal de te faire mal, je n'ai jamais autant souffert
Je n'ai jamais autant souffert
Quand je t'ai mis la ………………. au doigt, je m'suis passé les bracelets
Pendant ce temps, le temps passe, et je subis tes balivernes
Et je subis tes balivernes

J'sais pas si je t'aime  (bis)

J'me suis fait mal en m'envolant, je n'avais pas vu le …………………de verre
Tu me trouverais ennuyeux si je t'aimais à ta manière
Si je t'aimais à ta manière (bis)



réponses : sourire /comprendre /image /yeux/ souffrir /bague/plafond